Les erreurs que j’ai commises en voyageant (et à ne pas reproduire)

Hello ! 🙂

Il parait que c’est en forgeant qu’on devient forgeron. C’est donc de mes erreurs commises en voyageant que j’ai appris qu’il y avait certaines choses à ne pas faire en voyageant au risque de gâcher quelque peu le voyage. Bêtise ou inattention, ne faites pas comme moi 😉.

  • Faire tomber mon appareil photo à l’eau en voulant prendre un selfie

Qu’est-ce qu’on ne fait pas pour une jolie photo qui fera baver les copains.

Les faits : vous êtes au Belize en mars et vous voulez prendre une photo de vous dans l’eau turquoise pour rendre jaloux les copains en France. Et aussi parce que c’est la première fois que vous voyez les Caraïbes, il faut bien avoir une photo de sa frimousse non ? Mais pas facile quand on voyage seule…
Vous voulez prendre cette photo avec un trépied pour faire une photo parfaite pour Instagram. De dos c’est encore mieux. Vous posez le trépied sur un support non stable, en l’occurence un ponton en bois. Vous voulez prendre de la puissance pour vous éloigner de l’appareil. A cette fin, vous vous aidez de ce support non stable. Vous entendez un plouf. Oups 🙊.
Vous voyez la scène ? Mon appareil photo ne s’est jamais remis de mon voyage au Belize mais au moins il a eu une belle fin 😁. Blague à part, heureusement que c’était la fin de mon voyage en Amérique Centrale et surtout, heureusement que j’ai pu sauver la carte mémoire. Là, j’aurais vraiment pleuré. Et oui, j’ai essayé de faire sécher l’appareil, en vain et non je n’avais pas de riz à disposition 😉.

Morale : ne prenez pas de selfie de vous dans l’eau. Au mieux demandez à quelqu’un, au pire, passez-vous de cette photo. Instagram s’en remettra et vos potes ne vous détesteront pas 😁.

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Tout ça pour ce résutat
  • Franchir la frontière mexicaine par erreur

Oui, vous avez bien lu et oui c’est possible.

Imaginez la scène : vous êtes en stage à Los Angeles et décidez d’aller passer le weekend à San Diego avec deux de vos collègues. Vous êtes curieux, vous voulez voir ce fameux mur qui sépare les Etats-Unis du Mexique (oui c’est une curiosité un peu malsaine).
Vous êtes sur l’autoroute et c’est vous qui conduisez sur la voie la plus à gauche. Vous discutez avec vos passagers. Pris par votre conversation, vous ratez le panneau « dernière sortie américaine avant le Mexique ». Vous vous dites « pas grave, je ne peux pas franchir une frontière comme ça ». Vous continuez votre route en pensant que vous allez forcément pouvoir faire demi-tour avant d’entrer au Mexique. Vous voyez un drapeau mexicain. Oups. Vous constatez que si si, apparement vous pouvez franchir une frontière comme ça. Vous allez demander aux douaniers mexicains où vous êtes. Vous faire confirmer que vous êtes au Mexique. Vous commencez à paniquer (on vous avait bien dit de ne pas aller à Tijuana). Vous arrivez finalement à retourner dans une sorte de queue prioritaire pour rentrer aux Etats-Unis après moult échanges avec les mexicains.

L’histoire ne s’arrête pas là : vous montrez votre passeport. Sachant que vous avez un visa diplomatique qui vient d’expirer même si on vous a dit que vous pouviez rester 15 jours maximum sur le territoire américain après son expiration. Vous entendez le douanier passer un appel demandant des renseignements sur votre visa et commencez à paniquer. Vous lui jurez que vous quittez le pays dans 1 semaine. Vous êtes autorisés à repartir. Vous vous sentez très très bête.

Morale : si vous allez à San Diego, n’allez pas voir le mur qui sépare les Etats-Unis du Mexique. 1, c’est presque du voyeurisme, 2, c’est un coup à vous retrouver au Mexique avant d’avoir pu dire ouf.

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On aurait du rester à La Jolla regarder les photos (désolée pour la qualité de la photo, mon appareil était en train de rendre l’âme)
  • Me tromper dans le jour de mon vol

Les faits : Corée du sud : départ de Séoul pour Amsterdam à 1h du matin le 10 mai 2016. Vous arrivez à l’aéroport le 10 mai au soir. L’hôtesse vous annonce que le vol était la veille. Vous réalisez que vous auriez du arriver à l’aéroport non pas le 10 au soir mais le 9 au soir. Vous commencez à pleurer devant une hôtesse embarrassée. Vous pleurez un peu plus quand l’hôtesse annonce que le vol est plein ainsi que celui du lendemain. Puis vous vous rendez compte que vous êtes plusieurs dans la même situation (cool je ne suis pas le seul boulet de l’aéroport). Vous commencez à prier le dieu des avions très très fort. Vous priez pour ne pas devoir aller acheter un billet simple pour Paris auprès d’une autre compagnie. Et surtout vous pensez que si vous ne prenez pas ce vol, le billet de train pour Marseille le surlendemain est perdu et avec lui, une nuit d’hôtel. Et que voir AC/DC va être compliqué.

Finalement vous obtenez une place moyennant 145€. Vous embarquez et passez le vol coincée entre deux hommes. Vous dormez 90% du vol car pleurer ça fatigue. Vous arrivez à Amsterdam à 5h du matin et passez le contrôle de sécurité en pyjama par flemme de se changer dans l’avion.

Morale : TOUJOURS vérifier le jour et l’heure de départ (à un moment au Guatemala j’ai cru m’être trompée dans mon calendrier et avoir mal calculé mon itinéraire par rapport à mon jour de départ).

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Photo prise alors que je m’apprêtais à faire une balade en bateau, à une heure où j’aurais dû être de retour en Europe …!!
  • Ne pas avoir anticipé une possible perte livraison en retard de ma valise

Les faits : vous partez au Guatemala un vendredi soir avec une escale au Mexique dans la nuit du vendredi au samedi. Dans votre sac pour l’avion vous ne prenez qu’un pyjama pour dormir, une brosse à dent et un déodorant (plus quelques bricoles inutiles dont une pauvre couette qui ne fera pas le trajet retour avec vous).
Vous arrivez au Mexique (encore ce pays), récupérez votre valise, passez les douanes et redonnez votre valise pour qu’elle soit mise dans l’avion pour Guatemala city. Vous dites au gars de l’aéroport que vous allez au Guatemala (même si mon espagnol est nul, je suis certaine qu’en ayant dit Guatemala avec mon accent pourri il ne pouvait que comprendre).
Vous arrivez au Guatemala. Vous attendez votre valise. Le tapis des bagages est vide et vous comprenez que votre valise n’est pas arrivée à destination, contrairement à vous. Vous remplissez un formulaire. Vous donnez l’adresse et le numéro de votre pote. Vous allez manger. Vous allez acheter des vêtements pour l’anniversaire du soir même (ben oui, on ne se promène pas avec une tenue de soirée dans l’avion). Vous allez chez des potes du pote pour vous maquiller. Vous harcelez votre pote tout l’aprem, le soir et le lendemain pour qu’il appelle l’aéroport, ce qu’il fait très gentiment (merci L <3). En vain car l’aéroport ne répond pas au téléphone.
Vous contactez Air France sur Facebook le lendemain. Le community manager vous dit qu’ils ne peuvent rien faire parce que le vol a été opéré par Aeromexico même si le billet a été acheté sur leur site. Finalement après moult échanges, vous apprenez que la valise a été localisée et va être livrée (victoire).
En attendant, vous partez en mission achat de sous-vêtements un dimanche soir (on en trouve pas aussi facilement que ça en fait).
Le lundi matin, vous allez au travail de votre pote. Vous apprenez qu’un de ses collègues a été contacté pour récupérer la valise (alors que nous n’avions pas dit où il travaillait). Vous récupérez ENFIN la valise en fin de journée. Vous voyez que la serrure a été brisée car vous aviez mal mis le cadenas.
Vous découvrez que votre valise est allée faire un tour à San Francisco le weekend (non mais allô quoi, ma valise est allée à SF et pas moi). Mais au moins les policiers US n’ont pas touché au vin rouge et au pâté que vous aviez acheté pour votre pote, OUF.

Bon, pour ma défense, n’ayant jamais été confrontée à une telle situation, j’ai un peu sous-estimée le dieu du voyage ce jour là.

Morale : prenez avec vous dans l’avion au moins une tenue de rechange et des sous-vêtements de rechange. Plus tous les liquides que vous pouvez s’ils font moins de 100ml. Je compte revenir au Guatemala prochainement, Aeromexico ne m’aura pas deux fois (ou toute autre compagnie avec laquelle je voyagerai).

Morale bis : accrochez correctement le cadenas de manière à ce que lorsqu’on ouvre votre valise, on ne casse pas le système de fermeture.

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Quelque part entre le Mexique et le Guatemala avant le drame
  • Ne pas avoir réservé d’hébergement pour la nuit en pleine saison touristique

Les faits : vous allez en Turquie voir votre copain de l’époque, à Antalya (pas du tout hyper touristique) en août (pas du tout un mois blindé de touristes).
Vous décidez de louer une voiture pour visiter un bout de la côte sud du pays. Vous vous promenez et voyez des paysages trop beaux. Vous réalisez que la nuit commence à tomber. Vous vous dites qu’il faudrait peut-être chercher un endroit où dormir. Vous vous rendez compte que soit les hôtels sont pleins (étonnant vu la saison), soit beaucoup trop chers pour votre petit budget.
Vous roulez en vous disant que vous aller bien finir par arriver quelque part. Vous roulez pendant des kilomètres et des kilomètres sans rien voir, ni âme qui vive. Vous voyez la nuit tomber et s’installer. Vous vous dites qu’au pire (mais alors au pire du pire) vous pouvez dormir dans la voiture (un pot de yaourt).
Finalement, vous trouvez un camping perdu. Vous louez une tente pour un prix raisonnable (= on a payé le prix turc et pas le prix touriste). Vous dormez à même le sol sans couverture. Vous vous dites que décidément le camping ce n’est pas pour vous.

Morale : si le camping n’est pas votre tasse de thé (ça arrive), pensez à réserver un minimum en avance 😉

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Ceci étant, la vue au réveil était plutôt sympa
  • Ne pas avoir vérifié la propreté de l’auberge de jeunesse en réservant

Autant il y a des auberges de jeunesse très bien, très confortables, limites proche d’un hôtel, autant certaines ne devraient même pas être autorisées à accueillir des gens.

Les faits : partir avec une amie à Munich en décembre. Un soir, votre amie se met à se gratter de manière frénétique. Au regard des démangeaisons et après quelques recherches sur internet, vous réalisez que c’est des punaises de lit qui causent ça. Elle fait une recherche sur Google en associant le nom de l’auberge et punaises de lit. Elle obtient des résultats qui confirment ses doutes. Vous commencez à paniquer. Vous le signalez au gars de la réception (et voyez ce connard simuler la surprise). Vous rentrez en France, jetez certaines affaires où les punaises auraient pu pondre et lavez les autres 3 fois à 60 degrés.
Vous démontez l’auberge sur Booking et TripAdvisor. Vous envoyez une plainte à l’office du tourisme de Munich. En guise de réponse, vous apprenez qu’ils ne peuvent pas faire grand chose pour vous, car cette auberge n’est pas dans les réseau des hôtels de la ville (#dommage).

Morale : ne jamais négliger les commentaires des autres usagers sur une plateforme de réservation.

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Si l’auberge était nulle, Munich n’en reste pas moins une jolie ville
  • Réserver un hébergement dans le mauvais pays

Oui c’est possible, oui je l’ai fait, oui je suis un boulet ^^.

Les faits : vous êtes en voyage au Paraguay. Vous êtes à la deuxième étape de votre voyage. Vous regardez la réservation de l’hébergement pour votre prochaine étape et réalisez que l’hébergement est en URUGUAY alors que vous voyagez au PARAGUAY et n’avez pas prévu d’aller en URUGUAY. Bien sûr, comme la date de réservation est très proche, l’annulation n’est plus gratuite. Vous annulez quand même, l’Uruguay n’est pas exactement à côté, et perdez les 45€ de la réservation. Et là vous comprenez votre erreur : au moment où vous étiez en train de réserver vos hébergements au Paraguay vous aviez repéré un lieu sympa et avez cherché un endroit où dormir vers ce lieu. Sauf que Booking vous a gentiment renvoyé vers un endroit en Uruguay portant quasiment le même nom et vous ne l’avez pas vu. Vous avez donc du décaler tous les hébergements suivants, heureusement sans frais, eux.

Morale : ne jamais faire des réservations de logement un vendredi soir après une semaine hyper chargée au travail et toujours le faire à tête reposée :).

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Heureusement que je m’en suis rendue compte suffisamment tôt pour ne pas me retrouver à la rue
  • Partir sans avoir assez d’argent

Les faits : vous êtes étudiante et vous partez en voyage, pour vous changer les idées après un concours et pour voir un de vos potes qui habite à Saint-Jacques-de-Compostelle à qui vous avez promis de venir rendre visite.
Vous prenez un avion pour Porto puis un bus pour Saint-Jacques. Vous n’achetez que le billet aller du bus parce que vous ne savez pas quand vous allez revenir précisément à Porto avant de prendre l’avion. Vous dépensez un peu trop sur place, parce que la vie n’est pas chère, alors que vous êtes étudiante boursière et un peu ric-rac en fin de mois. Mais bon, vous sortez d’une période intense de travail de préparation à ce concours, vous le méritez (non?).
Finalement vous achetez le billet de bus pour rentrer à Porto et visiter un peu la ville avant de prendre l’avion. Et là, vous voyez le lecteur de carte qui affiche paiement refusé. Vous ressayez. Rebelote. Vous paniquez. Vous taxez votre pote pour payer le billet du bus qui va partir. Vous arrivez à Porto. Vous voulez appeler votre père et vous vous rendez compte que non seulement vous n’avez plus de batterie mais qu’en plus vous n’avez pas votre chargeur de téléphone avec vous. Vous pleurez en pleine rue. Vous trouvez un magasin où charger votre téléphone. Vous appelez votre père qui vous fait un virement par western union. Vous arrêtez de pleurer, vous allez manger et vous allez faire un tour.

Ici clairement ce n’est pas une erreur que j’ai commise mais une méga boulette. C’est même totalement stupide. Personne n’est à l’abri d’un accident financier avant de partir sauf que dans ce cas, je suis partie sans avoir vraiment mis de côté pour le voyage alors que je savais pertinemment que ce voyage arrivait. Autant vous dire que ça m’a bien servi de leçon. Oui, je suis plus cigale que fourmi…

Morale : calculer à l’avance combien va couter l’hébergement, les différents transports, prévoir un budget nourriture, un budget sorties/activités et un budget « au cas où ». Et accessoirement bien se renseigner sur le coût de la vie du pays où on va.

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Bon je me suis quand même baladée un peu hein
  • Aller en haute montagne en robe

Les faits : vous êtes en Slovaquie, il fait chaud, le soleil tape fort. Vous avez attrapé la veille un coup de soleil sur l’arrière des mollets et tout contact avec un vêtement fait mal. Vous décidez donc de mettre une robe longue pour la journée. C’est le jour où vous êtes décidée à aller voir les Hautes Tatras. Après avoir un peu tourné en rond pour rejoindre le village de montagne que vous aviez repéré, vous voyez un téléphérique. Et là, idée de génie du jour, vous décidez de le prendre. Après tout, ce n’est pas tous les jours que vous êtes en Slovaquie et ça doit être joli de là-haut. En plus, vous avez mis des Converses, ça ne serait pas la première fois que vous avez ce genre de chaussures pour crapahuter. Vous achetez donc un ticket pour aller le plus haut possible et vous voilà arrivée à plus de 2000 mètres d’altitude. Bon il ne fait pas très chaud mais vous avez un sweat, ça va le faire. Il n’y a pas beaucoup de monde, la vue est splendide et miracle, vous voyez deux autres filles en jupe, vous vous sentez moins seule. Par contre, vu la tenue du jour, pas la peine de tenter le diable, vous marchez un peu pour profiter (et rentabiliser le prix de la montée) et redescendez.

Morale : c’était complètement idiot d’avoir mis une robe ce jour là. Vive les leggings.

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Au moins j’étais assortie au décor
  • Ne pas avoir bien soigné une brûlure

Les faits : vous êtes au Paraguay. Vous êtes allée visiter des grottes avec une guide qui vous a amenée sur son scooter parce que l’entrée des grottes n’est pas accessible en transports en commun. Au retour, vous descendez mal du scooter, l’intérieur de votre mollet droit touche le pot d’échappement qui a bien chauffé. Sur le coup, c’est chaud mais votre pantalon est trop serré pour le remonter et voir ce qui se passe. Vous vous dites que ça va passer. Le soir vous rentrez et découvrez une magnifique cloque sur votre mollet. Le lendemain, dans un accès de génie, vous mettez une bande de gaze que vous aviez acheté précédemment sur la brûlure. Le soir, lorsque vous la retirez, c’est le drame. Le surlendemain (sans commentaire sur la durée de ma réactivité), vous allez dans une pharmacie qui vous donne une crème pour les brûlures, crème que vous mettez directement dessus, sans la nettoyer. Heureusement que c’est le dernier jour au Paraguay et que dans 24h vous serez en France pour vous occuper de tout ça. Arrivée en, France, faisant fi de la fatigue du voyage, vous allez à la pharmacie qui vous vend plein de produits pour prendre soin de tout ça. Trois jours après, votre mollet enfle, vous boitez, vous allez aux urgences et vous vous faites enguirlander par le médecin pour la gestion de tout ça et le fait que vous n’étiez pas à jour pour le tétanos. Résultat des courses, une magnifique brûlure au second degré qui ressemble à un vilain bleu !

Morale : TOUJOURS amener de la Biafine dans ses affaires, toujours !

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Le coupable

  • Ne pas prendre assez d’eau en randonnée

Les faits : vous êtes au Canada au coeur du magnifique parc Algonquin, paradis de la randonnée. Des randonnées au coeur de magnifiques paysages il y en a plein et on vous en conseille une, de 10km et qui dure 6h. On marche le long de plusieurs lacs et c’est très beau. Vous partez tout contents de la belle journée qui vous attend avec … trois bouteilles de 50cl dans le sac à dos. Oui oui. Vous pensiez trouver de quoi à boire avant la randonnée, au niveau du parking mais il n’y avait rien. Vous n’avez jamais eu autant soif de votre vie et n’avez jamais autant apprécié de boire de l’eau quand vous avez finalement pu en acheter. C’est vraiment bête parce que vous n’avez pas profité de la deuxième partie de la randonnée tellement vous pensiez à votre soif (mais c’était quand même très beau). Après avoir bu de l’eau après la randonnée, vous êtes partis au supermarché le plus proche acheter plusieurs packs pour ne pas revivre cette sensation horrible.

Morale : il vaut mieux avoir trop d’eau dans son sac et un sac qui pèse un peu trop lourd que pas assez d’eau.

Quand ne souffrions pas encore trop de la soif
  • Ne pas prendre d’anti-moustique

Les faits : restons au Canada, toujours au parc Algonquin. Nous sommes en plein mois d’août et les moustiques et autres insectes volants sont de sortie à cette période de l’année. Vous avez vaguement lu pendant les préparations du voyage qu’ils peuvent être virulents mais votre cerveau n’a pas retenu cette information. Le jour de votre arrivée dans le parc, vous partez faire une randonnée le long d’une rivière et voyez votre copain se faire attaquer de toutes parts par les moustiques. Vous n’aviez jamais vu ça, ils arrivent de partout et s’acharnent à vouloir le piquer. Vous partez aussi vite que vous êtes arrivés, notamment ppur aller acheter une crème contre les piqures et un puissant anti-moustiques.

Morale : Si vous lisez qu’il faut de l’anti-moustique, n’oubliez pas d’en acheter et si vous lisez qu’il va y avoir beaucoup de moustiques là où vous allez vous rendre, ne l’oubliez pas non plus !

Avant le drame

P.S : je n’ai pas encore connu la perte ou le vol d’argent ou de mes papiers et j’espère ne jamais connaître ça, je touche du bois et je croise les doigts ! 🙏🏻

P.S 2 : sauf pour l’appareil photo que j’ai du remplacer, les histoires se sont bien terminées. Comme quoi, un boulet peut avoir un peu de chance parfois 🙄😁.

27 commentaires sur “Les erreurs que j’ai commises en voyageant (et à ne pas reproduire)

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      1. Je suis rentré vendredi mais une partie de moi est toujours au Canada.

        J’espère qu’il ne t’arrivera pas d’autres mésaventures.

        Au mois de juillet (un mois avant mon départ pour le Canada), en tombant… J’ai faillis casser mon nouvel appareil photo.

        C’était moins une.

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      2. Effectivement.

        Pour le mien (Panasonic Lumix FZ1000), j’ai failli l’emmener sur le bateau pour voir les Chutes du Niagara de près; mais fort heureusement que je ne l’ai pas fait car il n’est pas étanche.

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  1. Ah moi le vol d’argent j’ai connu … J’avais négligemment laissé beaucoup trop de sous dans la poche de mon jeans au Pérou … Un petit péruvien qui passait devant moi s’est fait plaisir !
    Sinon j’ai beaucoup aimé te lire, et j’ai aimé la manière dont tu racontes les faits.
    Chouette concept cet article !

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    1. Au moins tu auras rendu quelqu’un d’heureux ^^ (pour voir le côté positif de la chose)
      Comment est le Pérou ? j’ai très envie de le faire d’ici 2/3 ans.
      Merci pour ton retour, ça me touche beaucoup 🙂 Passe une très belle journée 🙂

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      1. Je note 😉 Je rêve d’un road-trip en solo en Amérique du Sud mais c’est difficilement conciliable avec mon travail à moins de prendre une disponibilité d’un an pour faire ce voyage… A défaut, je ferai ces pays un par un, à commencer par le Pérou ^^ Très bonne soirée à toi 🙂

        Aimé par 1 personne

      1. Le coup de pas avoir prévu assez d’argent (c’était mon cas quand je suis partie en Erasmus au Portugal en 2007, merci Papa d’être venu à ma rescousse ahah) et plus d’une fois, ne pas avoir anticipé le retard de mes bagages ahah. Bon j ai compris la leçon maintenant, donc je n’oublie jamais la tenue de rechange dans mon sac cabine !

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